« Je prends place dans un profond canapé en cuir noir et songe, en détaillant l’homme à l’impeccable chemise blanche et à la barbe taillée qui me reçoit, que personne ne porte le deuil de la même façon. Certains se raccrochent au contrôle de soi, d’autres s’abandonnent au chagrin, littéralement. »