Goya : la fatigue... C'est comme la rouille, la fatigue. Elle pénètre les engins les plus nobles, elle ronge les espoirs les plus tenaces. Son effet, à la longue, c'est de céder au plus facile, au plus court, à l'immédiat. Elle prend son temps, la fatigue. Elle ne s'attaque à vous tout de suite, elle lambine. Mais elle finit par rappliquer, quoi qu'on fasse.