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Critiques de John Buscema (29)
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Avengers - Intégrale 1967

« Avengers, l’intégrale, 1967 » est une intégrale riche en rebondissements et combats dantesques…



L’arrivée d’Hercule dont les traits ont été copiés sur le célèbre culturiste et acteur de péplum Steve Reeves, contribue pour beaucoup à donner plus d’envergure aux histoires et aventures de la super équipe.



Le Prince des mers, le Mandarin ou Magnéto sont des super stars du Monde marvel mais le Penseur fou ou Diablo ne sont pas à dédaigner non plus.



Si certaines dérives anti-communistes primaires existent bel et bien avec les caricatures de chinois et de russes, on se régale davantage de combats épiques contres des colosses comme Dragon man, le Super adaptoide ou Ultimo.



Du coté psychologique, le tapis rouge est déplié pour Hercule, ce qui place Captain america en retrait par rapport à Œil de Faucon, forte tête tenu par son amour pour une espionne russe et Goliath l’héroïque géant n’hésitant à monter en première ligne dans tous les coups durs.



Seul bémol, le style graphique de Buscema, très pauvre et rudimentaire, qui ne met pas particulièrement en valeur nos héros !
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Avengers : Etat de siège

Ce tome contient les épisodes 270 à 277, parus en 1986/1987. Le scénario est de Roger Stern, les crayonnés rapides de John Buscema, et les finitions de Tom Palmer.



Au début du tome, les Avengers se composent de Captain Marvel (Monica Rambeau), Hercule, Captain America (Steve Rogers), Black Knight (Dane Whitman), Wasp (Janet van Dyne) et Namor; sans oublier bien sûr Edwin Jarvis. La situation est un peu tendue devant le manoir des Avengers car ils viennent d'intégrer Namor dans leur rang et la population a encore en tête sa dernière tentative d'invasion de la mégapole, mais aussi sa participation au conflit de la seconde guerre mondiale, du coté des alliés. Moonstone (Karla Soffen) en profite pour attiser la foule et monter les 2 camps l'un contre l'autre. Elle finit par être récupérée discrètement par Absorbing Man et Titania. Captain Marvel apprend par ses contacts dans la police que Whirlwind, Grey Gargoyle et Mister Hyde viennent de s'échapper de prison grâce à une aide extérieure. Mais avant que les Avengers ne puissent commencer à enquêter plus avant, Namor requiert leur aide pour aller sauver Marrina, détenue prisonnière par Attuma, alors souverain d'Atlantis.



En 1986, les comics de superhéros ont entamé leur mutation, mais elle est loin d'être achevé. Il s'agit pour les éditeurs de s'adapter au marché : passage de la vente en kiosque (newsstand) des comics, à une distribution en magasin spécialisé (Direct market). Avec cette évolution dans les points de vente, les éditeurs constatent que la tranche d'âge de leur public cible a augmenté. Les créateurs de comics doivent eux aussi s'adapter et proposer des histoires plus sombres et plus violentes (alors que pourtant le niveau de violence dans les comics est traditionnellement déjà élevé).



Roger Stern construit une histoire qui garde les stigmates d'un récit pour les plus jeunes, avec déjà des éléments destinés à un lectorat adolescent, voire jeune adulte. Parmi les restes d'antan, il y a forcément les bulles de pensées explicatives à souhait. Il y a aussi les superhéros tourmentés par les cachotteries infantiles et culpabilisantes vis-à-vis de leurs coéquipiers. Et puis il y a les passages qui sollicitent trop fortement la suspension consentie d'incrédulité. À ce titre, l'infiltration d'Atlantis décroche le pompon en termes de cumul d'invraisemblances. Ça commence par la grande clarté qui règne au fond des océans (impossibilité physique), ça continue avec la communication orale sans difficulté au fond de l'eau. Mais tout ceci n'est que le lot habituel des histoires sous-marines avec atlantéens. Ça se gâte vraiment avec la facilité déroutante (carrément incroyable) avec laquelle les Avengers (et Alpha Flight dont les membres ont vaguement droit à 3 répliques) arrivent jusque qu'au coeur de la cité, s'y maintiennent le temps de papoter, et je préfère ne pas insister sur le caractère amphibie du destrier mécanique du Black Knight.



Or ces éléments infantiles jurent en juxtaposition avec les passages plus matures. Roger Stern développe avec aisance le caractère de chaque personnage. Hercule passe pour un gros vantard un peu limité intellectuellement, mais avec un coeur gros comme ça. Janet van Dyne est un bourreau des coeurs sans pitié, ainsi qu'une maîtresse femme, avec ses limites. Dane Whitman provoque une forte empathie en amoureux transi souhaitant faire au mieux.



Stern agrège deux récits : le sauvetage de Marrina, et l'invasion du manoir des Avengers par les Masters of Evil (ce nom ! encore une rémanence des récits pour enfants). Or la deuxième partie s'avère très violente, les criminels sont plus intelligents que d'habitude, et beaucoup plus brutaux. Du coup cet aspect du récit s'adresse à un lectorat plus âgé que le début. Stern sait aussi conserver une dimension ordinaire à son récit en montrant chroniquement les réactions de l'homme de la rue à son récit. Il évite le piège des super-individus qui ne fonctionnent plus qu'entre eux, sans incidence des gens normaux.



John Buscema effectue la mise en page, ainsi que des esquisses pour chaque case. Il est facile de reconnaître son style établi dans les années 1970. Il utilise une mise en pages très sage, à raison de 6 cases par page, disposées en 3 lignes de 2 cases, avec quelques variations (2 cases fusionnées) ou uniquement 2 bandes de cases. Les qualités de ce dessinateur sautent toujours aux yeux : anatomie réaliste de chaque personnage, respect de la taille respective de chaque personnage tout au long de l'histoire, chaque case immédiatement lisible, vêtements des gens normaux réalistes, dynamisme des scènes d'action. Il est vrai que les postures des personnages sont un peu théâtrales et que les expressions faciales sont parfois exagérées, mais pas tant que ça. Les dessins sont finalisés par Tom Palmer, encreur réputé qui a encré les aventures des Avengers 12 ans durant (de 1985 à 1996). Il complimente vraiment les esquisses de Buscema, en respectant les crayonnés, et en améliorant les textures. Les illustrations de ces 2 grands professionnels dégagent un léger parfum suranné du fait leur classicisme efficace.



Ce tome correspond donc à l'adolescence des comics, un moment où les histoires commencent à se faire plus complexes, plus cruelles, plus violentes, plus subtiles, tout en retenant encore des caractéristiques de leur enfance.
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Avengers : Etat de siège

EXTRAIT "Ce qui force l'admiration, dans cet album, c'est l'idée que cette saga a été écrite il y a plus de trente ans, et qu'elle puisse se lire aussi facilement et aussi agréablement aujourd'hui encore. Cela n'a pas vieillit, pas pris une ride. Notamment le trait de John Buscema, un très grand artiste des années 70, dont la puissance du style fait toujours mouche. Bien sûr, on est loin des styles survitaminés modernes, inspirés des manga, mais ce dessin classique possède une dynamique propre qui force l'admiration. "
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Avengers : La saga de Korvac

C’est la dernière fois que je me fais avoir.



J’attendais sans doute trop de cette saga de Kovac qui réunissait les Avengers et les premiers Gardiens de la Galaxie (pas grand-chose à voir avec ceux du cinoche). Je replongeais dans une époque proche de celle que je connais le mieux. Ça annonçait du « cosmique ». Et l’idée de ce personnage assez costaud pour piquer les rênes de l’univers à toutes ces « puissances » qui laissent leur bébé bégayer dans le chaos total, mais qui se cache au milieu des mortels car il ne veut pas agir violemment, avait de quoi me séduire.



Mais ça fait plutôt flop. Trop de personnages mal gérés et sous-estimés, des intrigues secondaires bancales manquant d’intérêt, des conflits un peu artificiels entre héros (Iron Man et Captain America, comme d’habitude).



Mais ma grosse bêtise, c’est d’avoir tenté la lecture en français alors que je sais qu’à cette époque Panini n’avait que faire des traductions appropriées. Et c’est à nouveau un carnage. Fini le langage shakespearien de Thor, la discipline de Captain America, le grain de folie de la Guêpe. Tout ça est traduit au même niveau. Thor balance des « mecs » aussi bien que la Sorcière Rouge.



D’accord je ne suis pas cœur de cible, mais là c’était se foutre de son lectorat.

On ne m’y reprendra plus. Marvel, ce sera en anglais uniquement dorénavant.

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Big John Buscema

C’est un must have pour tous les fans de Buscema, de « Conan », de comics, et encore plus simplement pour ceux de l’illustration en général. Vraiment big !
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Comment dessiner des comics : La méthode Marvel

EXTRAIT "Très attirante cette leçon, même si elle s’avère désormais un peu datée, puisqu’elle met en avant les méthodes de mises en scène d’auteurs confirmés et respectés, mais qui ne représentent plus la tendance globale. Ceci dit, les méthodes pour apprendre à dessiner, elles, sont toujours justes. Cette utilisation des formes de base, tubes ou carrés, est toujours mise en avant dans les différentes méthodes de dessin de corps humains. "
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Daredevil - Intégrale, tome 3 : 1983

En reprenant les épisodes #185 à #191 du run de Frank Miller sur la série régulière, deux épisodes (#220 et #226) dont l’intrigue est co-signée par Miller et un épisode #219 dessiné par John Buscema, cette troisième intégrale conclût l’incontournable run du célébrissime Frank Miller sur la série.



Commençons tout d’abord par deux remarques concernant la couverture. Premièrement, pourquoi utiliser la couverture de l’épisode #171, repris dans l’intégrale 1981 ? Deuxièmement, cet album estampillé 1983, ne contient que deux épisodes datant de 1983 et cinq datant de 1982, alors que l’intégrale 1982 s’amusait encore à ajouter des histoires d’un niveau discutable et datant de 1981 en fin d’album ? Avouer qu’il y a de quoi perturber le lecteur. Mais bon, si l’on fait abstraction de ces frasques cosmétiques, cette troisième intégrale s’avère à nouveau absolument indispensable !



Les deux premières histoires sont encore un peu légères avec tout d’abord un Foggy Nelson assez amusant qui se prend pour un grand détective dans « Guts » (#185) et l’Homme aux Echasses qui se fait piquer son armure par Turk dans « Stilts » (#186).



La suite (#187-189) monte déjà d’un cran avec un Daredevil qui perd le contrôle de ses sens, le retour de son mentor Stick et la présence de la Veuve Noire, de Kirigi et des Chastes au sein d’une intrigue animée par la Main et ses ninjas. Rythmés par les affrontements, dont un superbe combat en ombres chinoises sur fond rouge, ces épisodes sont également marqués par la tournure désastreuse que prend la relation amoureuse entre Matt et Heather Glenn, ainsi que par un empoisonnement mortel et un sacrifice remarqué.



Puis vient la fin du run de Frank Miller avec deux épisodes brillants. Le premier, intitulé « Resurrection » (#190), marque le retour de la splendide ninja grecque nommée Elektra Natchios et dévoile une partie de son passé. Le deuxième, intitulé « Roulette » (#191), propose un dialogue exquis entre Daredevil et son ennemi juré, le tueur psychopathe d’une précision extrême nommé Bullseye. Cette discussion sur l’influence de la violence sur les jeunes entre un Daredevil éprouvé par les événements et un Bullseye comateux est une petite perle qui conclût de bien belle manière l’incontournable run de Frank Miller sur cette saga.



Viennent ensuite deux épisodes (#220 et #226) dessinées par David Mazzucchelli, qui permettent donc de réunir ce duo d’exception qui publiera plus tard la saga « Batman – Année 1 ». Le premier récit permet de faire le ménage dans la vie affective de Matt Murdock alors que le second fait office de prélude à la fameuse saga « Born Again ». Pour ceux que ça intéresse, cette saga, qui est l’une des meilleures de Daredevil, est reprise dans le récent Marvel Omnibus « Daredevil par Frank Miller« . Notons d’ailleurs que cet épisode #226 (« Warriors ») est également repris dans ce Marvel Omnibus, ainsi que le dernier épisode, intitulé «Badlands» (#219), qui est probablement le plus dispensable de cette intégrale.



Bref, si vous aimez Daredevil ou que vous voulez lire du grand Frank Miller, ces trois intégrales et l’Omnibus « Daredevil par Frank Miller » sont des lectures totalement indispensables !
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Daredevil - Intégrale, tome 3 : 1983

Ouvrage plus frustrant que vraiment passionnant. L'apothéose attendue de la série sous la houlette de Frank Miller ne s'y trouve pas, mais l'on se contentera de voir Murdock tenter de reprendre pied après les tragédies passées. De fait, en matière d'intégrale, on peut se sentir légitimement lésé puisqu'on n'a que peu de continuité, tout l'arc Born Again en étant exclu au profit de quelques épisodes dessinés par un très bon Mazzuchelli, mais postérieur. Leur seul intérêt est d'avoir été coécrits par Miller lui-même, qui en profite pour signer une autre aventure assez déroutante illustrée par John Buscema.
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Essential Avengers, tome 4

Cet Essential contient les épisodes 69 à 97 des Avengers - ou les Vengeurs comme on disait avant les films. Tout cela a été publié entre 1969 et 1972, ce qui ne nous rajeunit pas.



L’ensemble est bien équilibré entre la lutte contre des menaces cosmiquement létales et des gangsters racistes ou des capitalistes véreux. Certains récits s’engagent clairement dans la défense des minorités noire ou indienne, récits dans lesquels la Panthère Noire joue le rôle principal. D’autres procèdent plus allégoriquement en dénonçant la haine envers les mutants Vif-Argent et la Sorcière Rouge et l’androïde Vision. On assiste d’ailleurs aux prémisses des amours entre la belle mutante et la Vision. Pour l’instant ce dernier résiste, refusant l’idée que l’ordinateur électromécanique qu’il croit être puisse éprouver autre chose que de la logique non coupée d’eau.



Le clou du spectacle est représenté par la magnifique série relatant la guerre entre les deux races extraterrestres galactiques : les Krees et les Skrulls. La Terre jouissant d’une position stratégique entre les deux empires, chacun essaie de s‘en emparer. Les Krees tentent de faire régresser le monde dans un état préhistorique. Les Skrulls plus subtils jouent de leurs dons métamorphiques pour monter les humains contre les extraterrestres installés. Leur cible principale est Captain Marvel et ceux qui le protègent, évidemment les Vengeurs. Une chasse aux sorcières dirigée par le Sénat est lancée ; on sent que le maccarthisme n’est pas loin.

Le conflit se déplace dans les deux empires galactiques quand certains héros se font kidnapper. Dans les deux camps des va-t-en-guerre mènent la danse et des pacifistes attendent le moment propice pour agir.



Le dessin est tenu par des pros : Sal et John Buscema pour le côté percutant, Neal Adams pour l’émotion posée sur les visages. Le scénario est dirigé par Roy Thomas qui a la chance de se faire aider par Harlan Ellison le temps de deux épisodes terrifiants où les mânes de Chtulu sont invoqués.



Les années 1970 restent pour moi les meilleures pour les comics, mais j’ai conscience de laisser là parler ma nostalgie.
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Fantastic Four - Intégrale, tome 11 : 1972

« Fantastic four, l'intégrale 1972 » est encore une fois un grand cru du comic-books.



Nullement en raison du style graphique de Buscema et consorts, à peine meilleur que celui de Kirby. Les personnages ont toujours des traits simplistes, certains visages étant des copier/coller (la Torche humaine = Tyrannus voir Captain America), mais plutot à cause de la richesse des intrigues.



Même si on peut apprécier les louables efforts de Goodwin de critiquer l'apartheid et la racisme, le retour de Lee fait tout de meme nettement la différence en réintroduisant des histoires « larger than life » avec le Surder d'Argent, Airwalker et Galactus.



Derrière ce sommet, Lee ronronne quelques peu, recyclant maladroitement la créature du lagon, la genèse des FF et l'Homme-taupe, pathétique super criminel et sa horde de monstres sous-terrains.



Heureusement, les Terrifics, beau pendants aux FF reviennent avec une cliente de poids, la belle et puissante amazone Thundra, venue botter les fesses des mâles terriens !


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Les chroniques de Conan, tome 13 : 1982

Il est bon de ressortir ces petites pépites qui, même si elles n’appâteront pas le jeune lectorat par manque de super-pouvoirs ou d’élasthanne Spandex, ont le mérite de montrer au lectorat ce que le mot épique veut dire.
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Les chroniques de Conan, tome 4 : 1977

Les chroniques de Conan, chef d'oeuvre d'heroic fantasy , assurément .



Tirés des anciens Savage Sword Of Conan,cette collection constitue une piéce majeur pour le gros fan !

La patte Buscema et Alcala ,est du velours pour les yeux, le tout avec des récits tirée de Howard et superbement mis en valeur par Roy thomas.



Dans se tome ont tombe sur le chef d'oeuvre " les hommes du cercle noir " qui constitue le plus long récit de cette ouvrage et en prend une bonne partie,mais bon je ne continue pas,car ceux qui ne l'ont pas lu et aime l'heroic fantasy n'ont meme pas a hésiter. Le tout sous la main de Buscema et Alcala , autant dire que c'est du bon ! Guerre de faction et vieille forteresse impénétrable noyer de sorcier cruelle et puissant !!!! Plus qu'un récit, une histoire a part entiére un des pillier de la saga conan il y en n'a d'autre dans chaque tome classifier par année !



Pour le reste des récits, moins longs,mais qui donneront largement suffisament d'élément de se que doit contenir de l'heroic fantasy : sorcellerie et mage en tout genre , créature, guerriére, cité et temple qui recéle de mystére etc...



Pour finir dans le tome, ont n'a le droit a une partie de l'histoire de L'hyboria, dans cette ouvrage l'article est centré sur les différents dieux et demon d'Hyboria .



Planche de toute beauté, univers mature, féérique mais sombre, se tome est une valeur sur !
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Nous sommes les Avengers

Une anthologie globalement satisfaisante, très efficace pour évoquer les premières décennies d’existence de l’équipe.
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Nous sommes les Avengers

Troisième lecture dans la série « Stan Lee présente… » et déjà je peux constater que j’aime beaucoup lire les différents articles qui décrivent toute l’histoire du/des héros mis à l’honneur. Il y a moyen de se faire une bonne idée de tout l’univers et de situer toutes les histoires qui se sont développées autour comme les crossovers par exemple. À chaque lecture, mon pense-bête gagne quelques titres.



L’histoire des Avengers est nettement plus complexe que ce que l’on a entrevu dans les films de la MCU et combien plus passionnante.



Les épisodes choisis me laissent toujours un peu sur ma faim car parfois on n’a pas le début/la fin de l’histoire. Il faudra que je fouille le catalogue du prêt inter-bibliothèques pour trouver les intégrales.



Dans l’ensemble, je préfère souvent les premiers épisodes avec Stan Lee au scénario.



Un chouette moment de lecture.







Challenge BD 2019

Challenge défis de l’imaginaire 2019
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Savage She-Hulk - Intégrale, tome 1 : 1980-1981

Une intégrale que les collectionneurs de premiers tomes ne manqueront pas ainsi que les fans des séries classiques de chez Marvel.
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Silver Surfer

Ouah ! quel album !



Bon, le Silver Surfer comme personnage, on aime ou on n'aime pas. En effet, le gars peut agacer à la longue par ses monologues incessants sur sa condition, la perte de sa planète ou de sa bien-aimée. Mais d'un autre côté, ça lui donne un petit air de personnage shakespearien du cosmos. Et moi, j'aime assez, du moment que les dialogues ne sont pas trop longs. Car oui, il est vite pénible. Mais là, ça reste honnête.



Côté scénario, c'est un peu toujours le même son de cloche pour les quelques aventures du Surfer que j'ai lues. On se balade dans le cosmos, on rencontre des paysages fantastiques qui invitent à la contemplation et à l'introspection. Puis, finalement, l'ennemi juré débarque et tend des pièges qui obligeront le Surfer à livrer son âme à Méphisto. Donc du classique. Au sens littéral du terme. Faust dans l'espace.

J'aime bien.



Mais surtout, le gros point fort de l'album, c'est le graphisme. John Buscema aux pinceaux. Et le gars a l'idée de faire une histoire avec une image par page. Oui, vous avez bien lu ! vos mirettes vont en prendre de partout ! une page, une planche !!!! et là, il se fait plaisir Buscema. Et il nous régale par la même occasion. Certaines planches (toutes ?) mériteraient d'être encadrées et exposées. Le dessin est daté, certes. Mais quelle force ! quel dynamisme ! quelle élégance ! Galactus, Méphisto, Nova, le Surfer, le cosmos... c'est un concert de personnages pour les yeux. C'est du Mozart graphique. Régal !



Au final, un album avec une histoire classique (papa Stan Lee au scénario) mais au graphisme cosmique. Une tuerie !
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Special conan - semic n°4

Les deux récits placent Conan aux prises avec la sorcellerie qu'il abhorre particulièrement. La malédiction montre comment il est abusé par un sorcier au prix de son amitié avec un cimérien alors que le sond le place dans une sorte de série d'épreuves, de tests fomentés par un duo de sorcières particulièrement repoussantes. Dans les deux cas, Conan s'en sort à la force de son épée et de sa ruse mais les deux histoires insistent surtout sur l'indépendance du barbare et sa capacité à diriger lui même son destin, malgré ce qu'on croit pouvoir lui imposer. Conan est libre et décide de ce qu'il veut, quand il veut. les sorciers de ses deux histoires l'apprendront à leurs dépens.

Les graphismes d'un récit à l'autre sont réussis. Ma préférence ira à la seconde. En effet la mise en page de Ernie Chan est beaucoup plus intéressante et originale. Là où d'autres proposent entre 5 et 10 cases sur une même page, Ernie Chan préfère se limiter à 3 ou 4 voire moins. Ce choix permet de transcender les scènes d'action et de leur donner ainsi toute leur ampleur, laissant la place au barbare pour s'exprimer et lui rendre la maîtrise de ses mouvements. Conan semble alors vouloir sortir des cases....
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Spider-Man - Intégrale, tome 8 : 1970

L'année 1970 de Spider-Man est de qualité mais reste néanmoins inférieure à ce que toute la série nous avait proposé depuis ses débuts [...] Les dessins ont pâti des changements trop fréquents de dessinateur avant que Gil Kane vienne remettre de l'ordre avec grand talent.
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Spider-Man - Intégrale, tome 8 : 1970

« Spider-man, l’intégrale 1970 » ne me laissera pas un souvenir très vivace.



Les dessins de Romita et surtout de Buscema sont toujours d’excellentes qualité avec un héros gouailleur évoluant dans les gratte ciels new-yorkais, mais Spider-man manque pour moi de renouvellement dans ses challengers charismatiques.



Le seul intérêt de cette intégrale reste les errements personnel de Parker, dévoré par son secret trop lourd à porter et par un terrible sentiment de culpabilité envers Gwen, qui accuse Spider Man de la mort de son père qui au passage avait découvert le secret de Parker.



Malgré cela cette intégrale conserve pour moi un fort goût de réchauffé.
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Spider-Man : La mort de Jean Dewolff

Certes, on pourrait dire que l’histoire a pris un coup de vieux et que l’intrigue, comme certaines situations, se résolvent un peu facilement. Mais c’est justement ce qui fait une grosse partie du charme de cette aventure à la fois sombre et empreinte de naïveté.
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