Jenny Fields se plaignit bel et bien à son fils du "second souffle du coucou". Elle ne lui cacha pas qu'elle se sentait déçue qu'il eût choisi un sujet aussi mince et dépourvu de toute résonance universelle.
-Elle veut parler du sexe, commenta Garp. Le coup est classique. Une femme qui, pas une seule fois dans sa vie, n'a ressenti le désir sexuel, fait un sermon sur ce qui est universel ! Et le pape, qui a fait vœu de chasteté, tranche pour des millions d'êtres le problème de la contraception. Le monde est fou !