Les cocktails chimiques demeuraient sans effet. Les tests sanguins révélaient un effondrement du taux des lymphocytes T4, cibles du virus HIV dans l’organisme.
James Sullivan, qui avait 59 ans, souffrait aussi d’une encéphalite secondaire, l’éventuelle réaction d’un système immunitaire défectueux qui au lieu d’attaquer l’agent infectieux ciblait les cellules saines du cerveau.