Seule la France, avec sa truculence habituelle, refusa de se laisser émouvoir par le spectacle de l'autoflagellation de sa voisine. Un porte-parole anonyme du Renseignement français déclara que la liste d'universitaires français de gauche prétendument liés à "l'école d'euroterrorisme de Heidelberg" était un fantasme anglo-saxon.
L'intégrité des célèbres intellectuels et universitaires français restait immaculée. Un communiqué de la porte-parole du président français déclarant que "toute cette affaire sentait la manipulation médiatique d'un amateurisme extrême" fut jugée scandaleusement arrogant.