Moran n'était ni riche ni pauvre, mais sa haine et sa crainte de la pauvreté étaient aussi farouches que sa terreur de la maladie, ce qui signifiait qu'il ne serait jamais pauvre, mais que lui-même et ceux qui l'entouraient étaient condamnés à vivre comme des indigents. ( Presses de la Renaissance, 1990, p. 18)