Bien que Moran eût combattu pour l'indépendance pratiquement dès son adolescence, il avait toujours tenu à préciser que les révolutionnaires n'avaient jamais rien eu contre les protestants en tant que tels. A présent il se sentait beaucoup plus proche de cette classe déchirée que de ses voisins catholiques. Le vent avait beau souffler favorablement pour lui, il s'arrangerait toujours pour se trouver dans l'opposition permanente. (p. 202)