Références de John Milton aux beautés du ciel qu'il découvrit en observant dans la lunette de Galilée:
Devant leurs yeux apparaissent soudain les secrets du vieil Abîme; un océan sombre, sans bornes, sans dimensions, où la longueur, la largeur et la profondeur, le temps et l'espace, sont perdus. (II, v.889, p173.)
Ainsi chantait le glorieux cortège dans son ascension: le Verbe à travers le ciel, qui ouvrit dans toute leur grandeur ses portes éclatantes, suivit le chemin direct jusqu'à la maison éternelle de Dieu; un chemin large et ample dont la poussière est d'or et le pavé d'étoiles, comme les étoiles que tu vois dans Galaxie, cette voie lactée que tu découvres, la nuit, comme une zone poudrée d'étoiles. (VII, v.574, p316-317).