Alors je fais ce que je fais toujours dans ces occasions. Je vais à l'extérieur et j'enlève toute la poussière qui s'est accumulée sur le porche. Je les vois alors, marchant côte à côte. Je trouve alors obscène l'espoir qu'ils incarnent. Je trouve leur espoir obscène et je sens les larmes qui gagnent. Alors je sors ma blague à chicochlorophyle et je me prends plusieurs feuilles et je balaie. Je balaies et je pense enfin à rien.