Souvent, je reste des jours sans rencontrer personne à l'exception des oiseaux me rendant visite dans le minuscule jardin. Je me sens tout étonné de vivre ainsi seul sur cette terre. Pas un appel. Rien. Pas une voix alors que dans le monde entier bourdonnent les machines. J'écoute le temps cogner à ma porte; je regarde le ciel m'inviter à sortir.