« Vous n’auriez rien pu faire, même si vous l’aviez voulu », lui dit alors le guérillero, empressé et galant, et la dame lui répondit que cela ne la disculpait pas, que savoir s’il aurait été utile de crier ou de se débattre était sans importance, ce qui importait c’était de protester d’une façon ou d’une autre contre cette injustice et de dire ainsi à son mari : « On t’arrache à ma vie et ça me fait mal », « Je suis avec toi », « Tu verras, je ferai tout pour que ces brutes te libèrent. » (p. 84, Chapitre 5).