« Elle combattit, solitaire, en enfant perdue, sur son lit ; mas le poids des assauts qu’elle supporta fut le plus énorme qu’on ait jamais ouï parler ; elle valut une armée à elle seule, une armée qui devait faire face à l’ennemi sur tous les points. […] Toutes les fois que Dieu voulut châtier la Hollande, c’était à elle qu’il s’adressait, c’était elle qui recevait les premiers coups. » (p. 32)