Alors vraiment, en me promenant de pièce en pièce, j'eus l'impression que je visitais un musée d'antiquités, que plus tard d'autres hommes, qui auraient de la vie et du bonheur une conception plus pure et plus juste, visiteraient eux aussi comme moi des pièces immenses, bourrées du fatras de la Supercivilisation, et comme moi, hausseraient dédaigneusement les épaules devant la fin d'une grande illusion, devenue à jamais inutile, mise au rancart comme déchet de l'histoire et recouverte d'un drap.