Il était dompté par l'immense cataclysme de sa déroute. Ainsi que la plupart des hommes, il avait porté dans son coeur, solennellement, l'univers entier, et la fin prochaine de toute choses par la destruction de sa propre personnalité le remplissait d'une crainte sacrée qui le paralysait. Tout s'écroulait.