Mais Pierre Laval ne regrette rien. Il est sûr d'avoir bien agi. Il est sûr que le fascisme, le nazisme sont des régimes aussi bon que les autres. Il parle de Mussolini avec révérence et amitié. (...) Parfois, cependant, son oeil plat de serpent va, comme traqué, d'une travée à l'autre.