Paul, fils aîné de la famille Utu qui habite à Port Harcourt au Nigéria, disparaît alors qu'il allait rendre visite à un copain. L'auteur nous conte le passé de cette famille et retrace ainsi les vicissitudes de la dictature nigériane.
C'est une lecture agréable, faite des tribulations de cette famille et j'ai plongé avec plaisir dans ce mode de vie et cette culture pour moi peu connues. Le tout ayant pour toile de fond la disparition de ce jeune homme de dix-sept ans.
A découvrir.
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Un texte où le souvenir nourrit l'absence et l'ellipse la douleur. Articulé autour d'un drame familial, ce roman met en scène, dans une écriture neutre et captivante, les mots de plusieurs générations de nigérians. Jowhor Ile maitrise l'art de l'évocation sans lamentation, et nous entraine sur les routes des villages de son enfance avec tact, brio et passion.
Un moment de lecture riche, dont on ressort sonné de tant d'injustice, de tant de souffrances.
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Ce roman qui part d'une idée forte - la disparition d'un adolescent - nous donne à voir la vie d'une famille de Nigérians plutôt aisée et nous ennuie pendant plus de 180 pages avec des descriptions sans intérêt, comme par exemple les disputes entre la soeur et l'un des frères, avant d'introduire des éléments de la vie politique du Nigéria (que l'on connaît déjà pour peu qu'on se soit intéressé à ce pays). J'ai donc lu en diagonale la dernière centaine de pages pour arriver au comment du pourquoi l'adolescent a disparu et me rendre compte que ça n'a quasiment aucun rapport avec les descriptions précédentes. A mes yeux ce roman est complètement loupé. Il n'y a que l'éditeur et sa quatrième de couverture pour le défendre.
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