A l'excessive misère d'années de vie dans l'insalubrité répond aujourd'hui un usage excessif, démesuré, d'un confort aussi déroutant qu'inespéré. Il faut parfois du temps pour s'accoutumer à l'hospitalité d'un logement décent, la mémoire ayant conservé les stigmates d'une vie bricolée dans l'ombre. (...)
Le relogement est comme une rencontre, un face à face... (P 76)