(...) Plus nous sommes blessés, plus nous cherchons un réconfort dans l'imagination. Ironie de la chose, plus nous créons - et publions - d'oeuvres d'imagination dans cette solitude, plus nous courons le risque d'être blessés par les réactions des critiques et du public; et donc, de nouveau, nous nous réfugions dans l'imagination, ce qui nous assure d'être de nouveau blessés. Etrange cycle. p.142