Il n'y a rien ! Tu n'entends rien ! C'est le vent. C'est ton rêve. Tu sais bien que tu rêves. Rendors-toi. Je veux t'aimer, arrête de pleurer, lâche-moi, laisse-moi dormir pour l'amour du ciel, je suis quelqu'un moi aussi, pas seulement ta maman, ne me pousse pas à te détester. (p. 121)