Maintenant tu es libéré de nos liens conjugaux, cher époux. Là où je vais, je n’aurai pas d’enfants. Si j’avais été assez forte, le feu m’aurait consumée. Mais le feu a faibli maintenant, je suis très fatiguée, je peux tout au plus avaler ces cachets et prendre le couteau à découper sur l’évier de la cuisine. Tu trouveras une autre femme à honorer et à chérir, elle te donnera des enfants et ils seront beaux comme tu le mérites, et ils seront parfaits.