On ne trinqua pas, on ne lança pas de vivats. Chacun observait son voisin, l’atmosphère était tendue. Les proches de la fiancée étaient tendus. Ceux du fiancé l’étaient tout autant. Les invités étaient tendus, les serviteurs aussi. Même les chiens de chasse couchés sur le sol avaient le poil hérissé. Jusqu’au premier comte de Merrick, dont le portrait trônait au-dessus de la cheminée, qui paraissait crispé.