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Citations de Judith McNaught (110)


Judith McNaught
"Il y aura quelques fois dans ta vie où ton instinct te dictera de faire quelque chose qui défie ta logique, bouleverse tes plans, et peut sembler fou. Quand ce moment arrive, fais-le, écoute ton instinct et ignore tout le reste. Ignore la logique, ignore les attentes, ignore les complications, et vas-y ! " (Judith McNaught)
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— [...] Est-ce vrai qu'elle a menacé Roddy Carstairs de le tuer avec son propre pistolet ?
— Non. Elle lui a dit que s'il ne cessait pas de l'importuner de ses avances, elle le tuerait. Et que, si elle le manquait, elle lâcherait Wolf sur lui. Et que si Wolf n'en venait pas à bout, elle était sûre que moi je terminerais volontiers son travail. (Jason éclata de rire et secoua la tête.) C'est la première fois qu'elle me fait jouer le rôle du héros. J'ai tout de même été vexé de passer après son chien.
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 Il est bien plus agréable, tellement plus digne, plus raffiné, d'attendre en gardant un silence poli que a proie cesse de se débattre plutôt que de se ruer à la curée, avec un flot inutile paroles.
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A la mort de ses parents, Victoria quitte l'Amérique pour
l'Angleterre où l'attend un cousin prêt à l'accueillir. Dès qu'il
aperçoit la jeune femme, ce dernier n'a qu'une idée en tête: la
marier à son fils. Aussitôt, il installe Victoria à Wakefield
Park, chez Jason, dans l'espoir que l'un et l'autre finissent par
se plaire. Mais la partie est loin d'être gagnée. Froid et
cynique, Jason refuse formellement toute union. Toutefois, il
accepte de trouver un époux à Victoria. Commence alors un
défilé de prétendants auxquels Jason trouve curieusement
toujours à redire...

- Lord Wiltshire ?
- Trop jeune. Suivant ? marmonna Jason.
- Arthur Lancaster ?
- Trop petit !
- William Rogers ? Grand, intelligent, beau, riche...
- Hors de question. Je ne l'aime pas.
- Mais on ne te demande pas de l'épouser, hurla Charles excédé. C'est Victoria, ta filleule qu'on cherche à marier! Tu ne veux pas d'elle mais tu refuses qu'elle soit à un autre, c'est bien ça?
Victoria... un mélange de sensualité et de candeur, un corps fait pour l'amour, des yeux à rendre un homme fou de désir, et cette bouche... une véritable invite aux baisers ! La laisser à un autre ? Jamais ! L'épouser ? Impossible. Ce serait admettre qu'il l'aime. Et, c'est bien connu, on souffre trop quand on aime...
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Il ne la touchait pas comme un mari, mais comme un... domestique. L'estomac de la jeune femme se noua.
Ses mains fermes la firent asseoir. Sans un mot ni un regard, il commença à lui essuyer les pieds.
- Clayton, murmura-t-elle d'une voix brisée. Il ne faut pas...
- Si jamais l'idée vous effleure de me quitter, quelle qu'en soit la raison, je vous ferai enfermer dans votre chambre, dit-il sans relever la tête.
- Et vous resterez enfermé avec moi ? demanda-t-elle d'une voix tremblante.
Il leva doucement le pied gracieux et le posa sur sa joue puis l'embrassa.
- Oui, murmura-t-il.
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Jeune et jolie institutrice à Keaton - Texas -, Julie est prise en otage par un détenu en cavale. Un détenu pas comme les autres. Un homme qui a défrayé la chronique pendant des années. Zack Benedict, le célèbre acteur et réalisateur, condamné à quarante-cinq ans de prison pour le meurtre de sa femme... Peu à peu, une étrange relation naît entre le ravisseur et l'otage terrifiée. Zack réussit à convaincre Julie de son innocence. La peur se transforme en désir, puis en folle passion. Une passion que Julie défendra bec et ongles contre les médias qui l'accusent d'être la complice de Zack, le F.B.I. qui les harcèle, leur tend des pièges redoutables, et tous ceux qui font obstacle à leur bonheur...
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Toi, comment imagines-tu le paradis ?
― Je ne sais pas très bien. Et vous, papa ?
Charles s’accroupit et posa la main sur l’épaule de son fils.
― J’ai une idée, mais elle est très personnelle, dit-il en montrant le jardin.
À cet instant, Élizabeth et Caroline se tournèrent vers la terrasse et leur adressèrent de joyeux signes de la main, leurs chevelures brillant dans le soleil, leurs yeux verts emplis d’amour.
― À mon avis, continua solennellement Charles, le paradis, c’est ça.
― Il n’y a pas d’anges, objecta le petit garçon.
― J’en vois deux, et même trois, ajouta-t-il en se tournant vers lui.
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Il l'avait trouvée jolie de prime abord mais il ne s'attendait certes pas à cette métamorphose. En quittant ces austères robes de deuil, elle s'était transformée en une beauté épanouie.
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Mais l'honneur m'oblige à confesser que mes belles idées sur l'argent à gagner avec les tournois, les métiers à tisser et autres, sont typiquement écossaises. Les Écossais sont près de leurs sous, voyez-vous.
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- Il est certes désirable d'avoir de prestigieux ancêtres, mais la gloire en rejaillit sur ces ancêtres, non pas sur nous", cita Alexandra d'une voix grinçante.
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Toute relation avec cet homme tournerait au désastre. Difficile de trouver plus incompatibles que ces deux êtres. Il était pauvre, orgueilleux et dominateur. Quant à elle, elle était également orgueilleuse, mais riche, aux yeux de Ramon du moins, et farouchement indépendante. Ils finiraient tous deux par se blesser, en arriveraient à se détester. En un mot, ils couraient à la catastrophe.
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Les larmes l’étranglaient à présent, sa voix n’était plus qu’un frémissement tourmenté :
— Je t’aime et si tu meurs, je ne pourrai plus te le répéter.
Dans sa colère, dans son désespoir, il lui serra plus fort la main, passant de la supplique à la menace :
— Alexandra, ne t’avise pas de me laisser tomber ! Si tu me quittes, je flanque Penrose à la porte. Je te le jure. À la porte, sourd ou pas sourd. Et Filbert aussi, je le renverrai. Je reprendrai Elizabeth Grangerfield pour maîtresse. Elle qui ne rêve que de te remplacer comme duchesse de Hawthorne…
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Son père n’était pas physiquement brutal ni verbalement injurieux, il usait de la tyrannie émotionnelle, une forme de domination plus subtile mais tout aussi efficace.
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Et en Angleterre, poursuivit-il, les gens de la haute société se marient pour diverses raison dont la plupart sont d'ordre pratique. Nous ne faisons pas étalage de nos sentiments, réels ou imaginaires, pas plus que nous ne dissertons sur cette fragile émotion que l'on appelle l'amour. Nous laissons cela aux paysans et aux poètes.
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Sheridan se dit que la vie était décidément passionnante et que, sous divers apparences, les gens se ressemblaient. Tout le monde aimait rire, parler, rêver, croire à son courage infaillible, à son bonheur constant, et considérer ses chagrins comme de mauvais moments sans lendemain. 
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Pour avoir eu la bêtise de lui faire confiance, il serait accusé de trahison. Au mieux, il perdrait ses terres et ses titres. Au pire, il perdrait la vie.
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Pour les Écossais, le Loup noir était plus diabolique et infiniment plus dangereux que Satan lui-même, car ce dernier n’était que l’esprit du mal, tandis que le Loup était un être de chair et de sang, un monstre qui menaçait leur existence ici-bas. Il était le croque-mitaine qu’on évoquait pour forcer les enfants à obéir.
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- ...je crois me souvenir que vous étiez déjà fiancée lorsque nous nous sommes connus. Et à un pair du royaume, de surcroît.Malgré sa colère, son humiliation et sa frayeur, Elizabeth parvint à lever le menton et croiser le regard interrogateur de Charles.
- Il... Nous avons décidé que nous n'étions pas faits l'un pour l'autre.
- Vous vous en portez certainement mieux, ironisa-t-il. Les maris sont parfois très pointilleux quand leurs épouses s'autorisent de petites... amourettes de week-end. Les rencontres clandestines dans les pavillons de chasse ou des serres sont ainsi facilitées, n'est-ce pas ?
Elizabeth ferma les poings. Ses yeux lançaient des éclairs.- Je ne vous ai pas invité à venir me rejoindre, vous le savez !
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Ils ne se connaissaient que depuis quarante-huit heures à peine, et elle n’avait plus qu’un souhait : qu’il lui fasse l’amour, ce soir. Elle était atterrée, l'intensité de son désir la laissait désorientée... Cette attirance physique était concevable, mais ce qui l’était beaucoup moins, et semblait d’autant plus effrayant, était le sentiment étrange, l’attraction quasi magnétique, qui l’entraînait vers lui.
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On ne divorce pas chez les Southfields, on apprend à vivre chacun de son côté.
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— Il s’en est fallu d’un cheveu ! Sans son regard rapide, sans ses yeux de lynx, XXX XXXX, en ce moment, ne serait peut-être plus de ce monde ! Quel désastre pour l’humanité ! Sans parler de vous, Hastings ! Qu’auriez-vous fait sans moi dans la vie, mon pauvre ami ? Je vous félicite de m’avoir encore à vos côtés ! Vous-même d’ailleurs, auriez pu être tué. Mais cela, au moins, ce ne serait pas un deuil national ! Héros de Agatha Christie

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