C'est surtout la poésie qui a poussé cette fille illégitime vers la révolution. C'est peau de chagrin aujourd'hui la poésie, mais en ce temps-là, elle enflammait lettrés et analphabètes, elle se substituait doucement à la prière sous le règne de Victor Hugo, "elle était un langage naturel des classes populaires, le rêve des menuisiers parqueteurs c'était ça, écrire des poèmes !" nous dit l'historienne Michelle Perrot.