« Ah, Vercingétorix! Il me semble que j’entends ta voix rude. Tu nous dis: « Enfants d’Auvergne, avec ma sueur, avec mon sang, j’ai cimenté les bases de la démocratie. J’ai... ». Alors il se produisit quelque chose de si effrayant, de si miraculeux, de si impossible que chacun douta de sa raison et pâlit. La statue ouvrit la bouche. La statue cria: - C’est pas vrai! Elle se tut, puis cria encore: - J’ai jamais parlé de ça! Et d’abord je te défends de me tutoyer! C’est pas devant moi qu’il faut sortir tes boniments! Vieille lope! Tu vas me faire rendre ma nourriture! Fous le camp que je te dis! Fous le camp !