Je n'aime pas les chasseurs, ainsi que je l'ai dit au début (...). Cette expédition aura été à la fois la première et la dernière de l'auteur, mais il en a conservé un souvenir qui ressemble à de la rancune. Aussi, toutes les fois qu'il rencontre un chasseur, suivant son chien, le fusil sous le bras, jamais il ne manque de lui souhaiter bonne chasse : on dit que "ça porte malchance" !