Lorsqu’un voyage commence mal, il est rare qu’il finisse bien. Tout au moins, est-ce une opinion qu’auraient le droit de soutenir quatre instrumentistes, dont les instruments gisent sur le sol. En effet, le coach, dans lequel ils avaient dû prendre place à la dernière station du rail-road, vient de verser brusquement contre le talus de la route. (p3)