Dans plusieurs interviews, Julia Verlanger n'hésitait pas, du reste, à fustiger les tenants d'une littérature absconse et autosatisfaite, embourbée dans la grisaille du quotidien et sans autre message que politique. Des défauts qui, regrettait-elle, la coupaient du lecteur trop souvent laissé au bord du chemin. Car pour elle, la mission première, la mission sacrée de l'écrivain, était de distraire.
Laurent Genefort