Tandis que nous traversons les couloirs de l'immeuble, les yeux rivés sur la moquette grise et les parapluies suspendus aux portes, le second chauffeur nous raconte que les Japonais louent rarement des maisons aux étrangers mais que nous, nous représentons la France et que les Japonais raffolent de l'art à la française. Et je me dis qu'ils ne doivent sûrement pas connaitre nos téléréalités et nos camps de migrants.