Soudain, Ludmilla est parcourue de frissons, son corps se met à bouger de manière anarchique, comme si ses nerfs étaient traversés de décharges d’électricité. Elle s’effondre en bavant, la gueule grande ouverte, pleine de morceaux de barbaque ensanglantée. Elle semble rapetisser, les poils rentrent sous l’épiderme et ses dents se réorganisent avec d’immondes craquements. Elle reprend forme humaine !