De leur côté le pétrole, le charbon et le gaz ne constituaient pas des solutions viables sur le long terme, même avec des appareils modernes, car ils accroissaient les problèmes liés au dérèglement climatique...
Ainsi quand un expert grassement payé remettait un rapport élogieux sur L’ITER à un spécialiste indépendant d’une organisation comme l’ONU, l’enthousiasme avait tendance à retomber. L’ONU est une organisation partisante des énergies renouvelables, mais beaucoup de ses experts démontrent un silence poli face aux merveilles promises par les adeptes de l’ITER.