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3.69/5 (sur 8 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Bordeaux , le 07/07/1999
Biographie :

Justine Pinto, née le 7 Juillet 1999 à Bordeaux, a grandi à Sanguinet, au milieu de la lande et des grands pins, rêvant des grandes aventures qui l'attendaient de l'autre côté de la forêt et du lac, et n'a cessé d'inventer des histoires depuis son enfance.
Dès qu'elle eut appris à lire, ses après-midi se déroulèrent à dos de dragons ou à la recherche d'épées magiques, quand ce n'était pas à cheval dans la lande.
C'est durant l'été 2012, alors qu'elle est tout juste âgée de 13 ans, qu'elle se lance dans l'écriture d'Aerida sur un coup de tête.
Justine ayant gagné, deux années de suite, le concours de nouvelles du Farfadet de Parentis, organisé par la librairie Le Lutrin Magique, Cathy Gallardo-Leday, son éditrice, a décidé de lui offrir l’occasion de présenter son œuvre surprenante et originale en trois tomes.
C'est ainsi que ce qui était un de ses nombreux récits - non pas abandonné, comme à son habitude - est devenu le premier roman de Justine, "Aerida", qui sera bientôt suivi par deux autres, formant ainsi "La Trilogie de l'Héritage".


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Source : http://aerida.e-monsite.com/
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Si elle ne put être certaine d'être parvenue à calmer les pensées agitatrices du jeune homme, au moins son toucher eut-il comme conséquence de rétablir un masque apaisé sur le visage du garçon. Et, alors qu'il la fixait de ses yeux outremer, il vint poser sa main sur la sienne, l'empêchant ainsi de rompre tout contact avec sa peau. Mais elle ne songeait pas à retirer sa main, seul comptait l'intimité qu'ils partageaient en l'instant ; l'union de leurs peaux, la fusion de leurs regards.
Bien plus tard, la joue posée contre la vitre du carrosse qui ramenait les siens au palais, elle y songeait encore en sentant son cœur battre furieusement dans sa poitrine. Et, rougissante de s'émouvoir ainsi, elle enfouit son visage dans les fourrures de son père, lequel l'entoura de son bras protecteur, songeant sans doute que sa fille se lovait contre lui en quête d'un léger sommeil alors qu'elle ne cherchait qu'à fuir les cris furieux de son cœur .
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- Suis-je bête ! s'écria-t-elle soudain. Ce que je chéris avec ardeur, ce sont les mots.
- Les mots ? s'étonna l'autre.
- Prenez cette épée. Que peut-elle faire ? Attaquer ? Défendre ? Blesser ? Tuer ? Mais les mots ! Oh oui, ils peuvent servir à jouter, et ils peuvent écorcher. Mais ils peuvent guérir et aussi bercer. Ils font que je les aime car ils me permettent de rêver et un peu, aussi, de vivre.
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- Les choses ne sont pas aussi belles que dans vos yeux.
Aerida fronça les sourcils d'incompréhension.
- Comment cela ?
- Nous ferions mieux d'y aller avant d'être à court de temps.
- Pourquoi évitez-vous toujours de répondre à mes questions ? l'accusa-t-elle à voix basse.
- Parce que vous me rappelez que le monde est encore plein d'espoir.
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- Que faire ? murmura-t-elle en dessinant du doigt le tracé de son visage. Je te vois là devant moi et je te sais déjà si loin. Je peux encore te toucher que je te sens déjà perdu.
- Ne m'en veux pas.
- Comment pourrais-je ne serait-ce qu'y songer ? Je t'aime trop pour te haïr. Mais peut-être qu'un jour je te haïrai trop pour t'aimer.
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- Vous savez pourtant que vos sorties hors du palais sont autorisées du moment qu'elles sont organisées au préalable et se déroulent en compagnie de protecteurs, prononça-t-il néanmoins.
- Dalias, qui Diable au monde prévoit une virée en ville quatre mois en avance ?
- Deux suffiront, répliqua-t-il.
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Prenez cette épée. Que peut-elle faire ? Attaquer ? Défendre ? Blesser ? Tuer ? Mais les mots ! Oh oui, ils peuvent servir à jouter, et ils peuvent écorcher. Mais ils peuvent guérir et aussi bercer. Ils font que je les aime car ils me permettent de rêver et un peu, aussi, de vivre.
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Mon nom est Aerida, et je suis la princesse héritière d'Albion. On plaça dans ma naissance les espoirs d'un monde en paix, d'un monde sans guerre. On vit en moi le symbole du renouveau de mon peuple qui avait tant souffert.
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- Il est la coqueluche de Trystain, et plus encore de mon père.
- Vous.. Il ne vous intéresse pas ?
- Pas plus qu'un pain au poivron. Et Dieu sait que je tiens les poivrons en horreur !
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- M'aimes-tu ? lui demanda-t-elle en ouvrant de grands yeux.
- Depuis si longtemps que j'avais cru pouvoir m'en défaire.
- Que fais-tu ?
- Je te regarde. Je te vois et je t'aime.
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Je te l'ai dit, murmura-t-il doucement, comme si elle était une enfant qu'il ne voulait pas brusquer, je ne te ferai jamais de mal, et je ne permettrai jamais qu'il t'en soit fait.
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