Elle n’avait pas réalisé que ses poils de jambes lui permettaient d’escalader les murets, aussi les retirait-elle. Ce rituel avait tout des parcours ascétiques, de l’astreinte récompensée par les vents et postillons du soleil. Elle s’y employait comme on interrompt la germination des pommes de terre, cataplasmes de cires et de sucres dévorant l’épiderme ; ses mains, les épluchoirs de son propre corps.