Quand on parle des bas-fonds, c’est pour désigner la partie de la société qu’on ne voit jamais. C’est dans ce monde que vivent les exclus, les individus sans repères. Et c’est là que prospèrent les monstres comme Roger Ling et Ignacio Ortiz. C’est là qu’ils trouvent leurs proies. Grâce à la drogue. À la vénalité. À la misère. Au désespoir. Une fois qu’ils ont pigé comment exploiter ces gens, ils n’ont plus jamais regardé en arrière.