Dans une lettre du 9 juillet 1911 à Carlo Calusetti, Puccini écrit : "À première écoute, le drame peut empêcher d’écouter la musique, mais à la deuxième ou troisième audition, l’action est familière et les surprises n’ont plus la même intensité ; alors on peut écouter la musique. C’est toujours ce qui se passe avec des livrets captivants."