Au final, je restais un Pachtoune et lui un Hazara. J'étais sunnite et lui chiite. Personne n'y pouvait rien changer. Personne. Nous n'en étions pas moins des garçons qui avaient appris à marcher ensemble, et cela, l'histoire, les ethnies, la société et la religion n'y changeraient rien non plus.