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Citations de Kit Frick (37)


Je n'ai peut-être pas change, vue de l'extérieur mais comme on nous l'a toujours appris, c'est l'intérieur. compte. Et à l'intérieur, je suis cramée, un désert de cendres.
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«Ne pleure pas le soleil qui n'est plus, Les larmes t'empêcheront de voir les étoiles.» Violeta Parra
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Aux meilleurs amis qui s'en sont sortis, les magnifiques, les abimés, les casse-pieds.
Aux meilleurs amis qui nes'en sont pas sortis.
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Le passé ne meurt jamais. Il n'est même jamais le passé.
William FAULKNER
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Au bout de ce tunnel de confusion et de chagrin, de douleur et de regret, il y a un sens. Je ne sais pas encore lequel, mais je ne désespère pas de le découvrir.
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Je me rends compte que c'est exactement comme ça que je voyais le monde de Matthias. Un oignon, un nombre infini de couches. On sait qu'on aura les yeux pleins de larmes, mais on serre les dents et on continue à l'éplucher, coûte que coûte.
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Maman reste un long moment à la porte entre la salle à manger et la cuisine, à me regarder. Je devine qu'elle voudrait ajouter quelque chose. Ces paroles profondes, pleines de sens, dont les mères ont le secret. Des mots destinés à remettre le monde à l'endroit.
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Le Dr Marsha pense qu'aller bien est une espèce de destination, et qu'il me suffit, pour l'atteindre, de continuer à marcher en ligne droite.
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- Je ne suis pas venue ici pour remuer le passé, dis-je.
- Ah bon ? Pourquoi es-tu venue, alors, Ellory May ?
(Parce que tu m'as invitée. Parce que je n'ai pas pu résister. Parce que je te hais toujours. Parce que tu as tout détruit. Parce que je t'aime encore. Parce que je me déteste toujours. Parce que je meurs sans toi.)
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L'air de cette soirée de juillet était chaud et moite, et une légère brume flottait au-dessus de l'eau. Elle s'achèverait bientôt, mais demain, tout me paraîtrait toujours nouveau, spécial et merveilleux. Tous les lendemains étaient à nous, à portée de main.
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Je m'écarte de mon trajet quotidien, soigneusement planifié. Le semestre a commencé depuis trois semaines, et c'est comme si j'avais une carte du Maraudeur du lycée, les trucs magiques en moins. Je sais quels couloirs sont sans risques entre quels cours, quelles toilettes je ne dois pas utiliser, et à quelle heure exactement je dois entrer dans le parking le matin pour être sûre de ne croiser personne en rejoignant mon casier. Mais aujourd'hui, je me suis plantée, et plus rien n'est garanti.
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- Merci, ai-je murmuré après un petit moment.
- De quoi ?
- De me dire que je suis belle. Je n'ai pas trop l'habitude des compliments, mais il me semble que je dois te remercier.
- De rien. (...) Désolé d'avoir mis autant de temps à te le dire.
Ces paroles m'ont fait fondre. Je me sentais plus vivante que jamais. En couleurs et en trois dimensions.
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Elle se débrouillera très bien sans moi, comme elle l'a déjà fait cet été. Et la vérité, c'est que moi aussi, je me porterai mieux sans elle, sans sa sympathie teintée de reproches, ses mots prudents, et ses yeux qui retiennent tous les souvenirs que je veux oublier.
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J'ai pris celle qui menait aux recoins les plus sombres de ton cœur. J'ai pris celle qui menait aux portes du paradis. J'ai pris celle qui menait aux confins de l'océan Arctique.
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J'aurais pu refuser. J'aurais pu rester sur la pelouse à savourer la douceur du pain aux carottes et la caresse de la brise sur mon visage. J'aurais pu les trilles de l'Ipad noyer les paroles de Ret. Ce qui est arrivé ensuite aurait été différent. Matthias, les mensonges, cette explosion de rage brûlante qui nous avait dispersées, Ret, Jenni, Bex et moi, faisant de nous des planètes orphelines, arrachées à nos orbites. Rien de tout cela n'aurait existé...
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Très vite, le monde de Ret était devenu mon monde, et ses amis, les miens. C'était comme s'il en avait toujours été ainsi. Tout ce que Ret touchait me paraissait électrique, excitant, un peu dangereux. Y compris moi. Avant Ret, j'étais invisible. Avec Ret, j'étais devenue quelqu'un...
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A la fin, on se moquait de savoir qui avait blessé qui. Le résultat était le même : Toutes les quatre, éparpillées, et un océan de douleur dans mon cœur.
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