La nature, le rêve et l’esprit se fondaient l’un dans l’autre, tout devenait divin et pour finir, le divin se dispersait dans le néant.
Cette mer vers laquelle on était entraîné avec un balancement si doux, c’était le néant ; l’homme emporté par le courant le savait sans se l’avouer ; le néant l’attirait à lui, sans forme, sans fond, sans fin. D’abord venait la connaissance, puis la volupté, enfin la dissolution, qui libère de tout lien.