Les lettres à Julie [Wohryzek] doivent être considérées comme perdues - jusqu'à la découverte récente d'une longue lettre de Kafka à la soeur de Julie. Ecrite après la rupture, en novembre 1919, elle décrit l'histoire et la préhistoire de cette aventure [...] :
"Vous savez comment Julie et moi fîmes connaissance. Nos relations débutèrent de la façon la plus singulière, et, pour qui serait superstitieux, sous des auspices peu favorables. Pendant quelques jours nous avons ri, chaque fois que nous nous rencontrions, sans interruption, à table, à la promenade, lorsque nous restions assis l'un en face de l'autre [...]. "
[Klaus WAGENBACH, "Kafka", 1964, traduit de l'allemand par Alain Huriot, éditions Seuil, collection "Ecrivains de toujours", 1968]
Les lettres à Julie [Wohryzek] doivent être considérées comme perdues - jusqu'à la découverte récente d'une longue lettre de Kafka à la soeur de Julie. Ecrite après la rupture, en novembre 1919, elle décrit l'histoire et la préhistoire de cette aventure [...] :
"Vous savez comment Julie et moi fîmes connaissance. Nos relations débutèrent de la façon la plus singulière, et, pour qui serait superstitieux, sous des auspices peu favorables. Pendant quelques jours nous avons ri, chaque fois que nous nous rencontrions, sans interruption, à table, à la promenade, lorsque nous restions assis l'un en face de l'autre [...]. "
[Klaus WAGENBACH, "Franz Kafka par lui-même", 1964, traduit de l'allemand par Alain Huriot, éditions Seuil, collection "Ecrivains de toujours", 1968 - page 148]