Konami Kanata

Chi est un chaton comme vous pouvez vous en douter. Moi je le trouve trop mignon ! Bref dans ce premier tome, il vient juste d'être abandonné et ne s'appelle pas encore Chi. Il élit domicile au sein d'une famille bien malgré elle mais qui, au final, ne peut plus résister à son joli museau. Le chaton découvre sa nouvelle vie et bien que normal, on le vit presque comme des aventures monumentales. Entre jeux de mots, moues irrésistibles et découvertes très drôles, on ne peut que craquer !

Même si parfois en lisant ce manga j'ai trouvé ça un peu gnangnan, je ne regrette pas du tout de l'avoir lu. Mieux : j'attends de pouvoir lire le tome 2 avec impatience ! Il y avait vraiment des moments à mourir de rire et je crois que dans le magasin où j'étais tout le monde me regardais comme un alien... Je n'ai pas pu l'acheter mais failli craquer à cause du prix vraiment cher. Et la couverture est très belle, je trouve ! Bon, comme moment que j'ai adoré, je pourrais citer le premier prénom de Chi, à savoir "pipi". ça m'a vraiment fait rigoler. On redécouvre le quotidien d'un chaton qui ne doit être inconnu à personne et pourtant on ne s'ennuie pas un instant. Au fond, en fan incorruptible des chats je me devais de le lire !

Un petit moment agréable à passer, un manga qu'on peut lire et relire sans s'en lasser.
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Ce tome 9 confirme, hélas, ma déception du tome 8. Tout le tome se concentre sur la volonté de Chi de retrouver Minou, ses tentatives pour sortir, les recherches de sa famille dans le parc, etc. Des choses peut nouvelles et des situations déjà vues dans les précédents tomes. Je regrette que le tome soit consacré à une seule intrigue et que l’illustratrice-auteure ne se renouvelle guère. L’intrigue parallèle (retrouver la mère de Chi) est encore une fois à peine ébauchée, n’entraînant guère d’évolution, et comme cela fait bien 5 tomes que cette intrigue stagne, on se lasse un peu. Je préférais largement la succession de saynètes.
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J'ai l'impression d'avoir déjà écrit tout le bien que je pense de Chi. Ce petit chat apporte un vrai vent de fraicheur, il donne le sourire du début à la fin de la lecture. Chi réveille l'enfant qui est en nous, et rien que pour ça il obtient mon respect et ma dévotion éternels!

Lorsque l’on ouvre la première page et que l’on lit, d’entrée de jeu, cette anecdote signée de Konami Kanata :





« J’adore le football. J’ai récemment acheté un maillot de Kashiwagi, joueur des Urawa Reds, que j’ai suspendu dans mon atelier. »





…on se dit que, ça y est, ce qu’on présageait depuis quelques tomes déjà est en train de se produire : Konami Kanata sèche complètement ; Elle ne sait plus quoi raconter et se détourne de sa perte d’inspiration comme si de rien n’était, en se mettant à nous baratiner avec des histoires de footballeur qui sont à mille lieues de Chi et de son univers.

Et pourtant…





Le miracle se révèle petit à petit. On a d’abord du mal à y croire : il faut dire que Konami Kanata débute son 9e tome en nous lançant sur une fausse piste et en calant un intermède inutile nous présentant Chi engoncée dans une collerette –épisode qui semble n’avoir pour seul intérêt que celui de permettre à la pauvre bestiole de s’humilier dans une valse de pitreries. Mais ensuite, un véritable fil conducteur se met en place et relie pour une fois les différents chapitres du volume. Alors que les précédents tomes se constituaient à l’image de boules à facettes –chapitres décousus et absence de thématique qui rendaient les histoires de Chi insipides-, celui-ci offre une véritable cohésion. Et que de suspens… Chi, malgré son interdiction de sortie, réussira-t-elle à braver les obstacles que ses maîtres dressent entre elle et le monde extérieur ? Arrivera-t-elle à retrouver son compagnon de jeu Minou et à se faire une place dans la réalité cruelle des matous de rue ? Oui, bon, d’accord… il y a plus palpitant comme intrigue mais par rapport à ce que Chi a pu vivre dans le passé, on atteint ici les sommets du dramatique. Les adeptes de la spéculation cérébrale y trouveront également leur compte et pourront se pencher sur la définition philosophique de la liberté, telle que Chi et son compagnon Minou tentent de la cerner entre deux gamelles raclées au coin d’une rue :





- Il faut faire quoi pour être libre ?

- D’abord, s’occuper de la bouffe.





Oui, car, qu’on ne s’y méprenne pas, Chi est à l’image de ses plus jeunes lecteurs, et Konami Kanata dissimule ici une véritable leçon de morale : pourquoi vouloir se confronter précipitamment à la dure réalité du monde extérieur ? Il est tellement plus doux et plus confortable de pouvoir dormir au chaud chez soi et de se faire porter sa gamelle devant sa gueule pour becqueter des boulettes en boîte ! A moins que l’on ne préfère aller grailler au KFC… car, comme nous le précise en conclusion Konami Kanata –visiblement adepte des anecdotes qui tombent à plat- :





« Vous savez quoi ? Chi a été choisie pour une opération marketing de KFC en Chine du 26 décembre 2011 au 18 janvier 2012. Pour un menu acheté parmi les menus A, B et C, un strap parmi quatre disponibles était offert. La pub passait à la télé, un homme est même venu plusieurs fois acheter un menu en expliquant qu’il voulait offrir tous les straps à sa copine et qu’il lui en manquait encore un. La campagne a remporté un franc succès ! Il paraît que les straps ont été fabriqués à cinq millions d’exemplaires pièce ! »





De quoi détruire un peu l’auréole de magie et d’innocence qui entourait cette brave Chi…


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Chi est un adorable chaton (pléonasme) égaré loin de sa mère et ses frères et sœurs et recueilli par une famille vivant en appartement, parents et très jeune garçon. Au début il cherche sa mère, puis ses souvenirs s'estompent (joliment fait) , il doit apprendre à faire pipi au bon endroit (Chi = pipi en japonais) et l'idée marrante est que le petit de la famille est lui aussi en train d'apprendre la propreté. Hélas dans l'immeuble les animaux sont interdits, Chi doit être cachée. Dans le livre et la vidéo, Chi va chez le vétérinaire (et on apprend que c'est une demoiselle de deux trois mois).



Manga en couleur très réussi, et vraiment pour tous, grands comme petits. L'occasion aussi de découvrir un intérieur japonais moderne. Je me suis régalée et fort divertie. Trop mignon, quoi. Kawaïï !!!!
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J'ai beaucoup aimé les aventures de Chi, un chat tout mignon.

Et quel est donc l’intérêt de suivre la vie d’un chat me demanderez-vous ? Eh bien, c’est tout simplement drôle, mignon et très attachant !
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De tous les tomes de Chi que j'ai lus, le 9ème est celui qui me laisse le plus perplexe.



Il y a bcp d'idées sympathiques, Chi est toujours aussi attendrissante mais ça stagne.



Le zézaiement appliqué aux pensées et paroles de Chi m'agace un peu, les épisodes liés à ses fugues sont quelques peu répétitifs et ceux liés aux attentes réciproques de Minou et Chi traînent en longueur.



Ceci-dit, il y a quelques épisodes adorables, celui où Chi fait un numéro de charme pour obtenir de la nourriture est irrésistible. Les épisodes où Chi connaît des déconvenues soit avec sa collerette soit avec son collier et soit avec sa laisse sont amusants.



J'espère que les épisodes suivants auront plus de rebondissements. Il y a du potentiel et j'espère que l'auteure saura bien l'exploiter à l'avenir.

J'en ai pensé quoi, de l'histoire ? Chi est de retour ! Dans ce troisième tome, elle vagabonde avec Noiraud... Mais pas seulement. Ce petit chat est toujours aussi attendrissant, et ses aventures ne laissent pas insensibles petits et grands (mon p'tit loup c'est laissé prendre).



L'album ? Chez Glenat , un format poche, 160 pages.



Le dessin ? Comme toujours, la petit bouille de Chi est craquante et on a juste envie d'avoir le même à la maison. Les personnages humains sont toujours très reconnaissables, le graphisme est agréable et léger.



Donc j'en retiens... que j'ai vraiment hâte de continuer ma collection (mais m'sieurs dames de Glenat, presque 11€, c'est un peu beaucoup pour un manga, non ?), et le p'tit loup attend aussi avec impatience de savoir si Chi va retrouver... (ah ah, vous avez cru que j'allais spoiler, non ?)



Et je l'ai lu grâce à... un "craquage" en librairie ...



Et je l'ai lu dans le cadre de... "je lis les livres de mon étagère".
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[Extrait]

Pour Chi, les couvertures sont simples et enfantines, mais touchantes par leur poésie et surtout mignonnes à cause du chat ! Les dessins sont ronds, simples, les bulles nombreuses et chaque page (ou double page ou ... ) nous raconte un petit moment de vie avec un chat. Comment il mange, comment il dort, comment il fait du step avant de s'installer sur nous... Cela paraît niais, raconté comme cela, mais si on accroche à ce manga, c'est parce qu'il nous raconte aussi l'histoire de nos propres chats, on les reconnaît dans ce chat adopté qui fait des bétises...
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[Extrait]

A ma gauche, nous avons "Chi, une vie de chat" de Konami Kanata, édité chez Glénat en France depuis 2010. Il y a déjà 9 tomes en vente. J'en ai lu, pour le moment, deux.



Au Japon, un chat pas si sauvage que ça est recueilli par une famille habitant un immeuble où les chats ne sont pas bien vu. La famille va apprivoiser ce chat, ce chat va apprivoiser la famille et, surtout, les amoureux des chats vont pouvoir reconnaître quelques comportements de nos amis les félins.
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Toutes les personnes qui me connaissent savent que j'aime les chats. Alors ce manga quand je l'ai vu, j'ai forcément voulu savoir ce que cela racontait. Et voilà que grâce à un prêt d'une copine de fac, chose est faite.

C'est un manga qui me change beaucoup des seinen que j'ai l'habitude de lire.



Il est classé jeunesse et on peut le voir par les dessins et par l'histoire qui y sont très enfantins. Le chat est un chaton et ne souhaite que retrouver sa maman et sa maison. Etant recueilli dans une famille, il découvre la vie, la propreté tout en ayant des préoccupations de chaton (le jeu). Ce petit chat, par sa fraîcheur, sa candeur et sa naïveté n'est pas sans nous rappeler n'importe quel chat à qui l'on a pu s'attacher.



Personnellement, je l'ai vraiment trouvé très adorable ce petit chat et il me change de tous les mangas gores que j'ai pu lire précédemment.



Toutefois, ce manga est quand même très gnian- gnian. C'est un manga de divertissement et ce premier tome est bien mais je ne vois pas dans la continuité ce que cela va vraiment donner, cela vaut-il vraiment le coup de continuer ?

Je ne sais pas trop. Surtout qu'au niveau des dessins, ce n'est pas exceptionnel (même si les mimiques du chaton sont juste trop adorables).



Cet avis est très bref mais vous avez compris l'essentiel ;)


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Ceux qui entreront dans la série avec ce tome 9 n’en croiront pas leurs yeux, découvrant un manga jeunesse tout en couleurs si mignon qu’ils ne manqueront pas d’aller vers le tome 1 et de rattraper leur retard en dévorant jusqu’à ceux-là les nombreux épisodes de la saga !
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A la fin du tome précédent, Chi, soignée pour une conjonctivite, rentrait à la maison affublée d’une collerette. Dans ce nouveau volume, la jeune chatte, débarrassée de cet instrument de torture qui l’empêchait de se déplacer à sa guise n’a qu’une envie, retourner jouer dehors avec Minou. Mais ses propriétaires décident de ne plus la laisser sortir pour éviter qu’il lui arrive d’autres malheurs. Devant sa détermination, son maître cède et décide de lui acheter une laisse. Mais lors de la première promenade, Chi parvient à se faire la malle. Une escapade au grand air et en totale liberté qui ne sera pas de tout repos...



Les deux ou trois tomes précédents m’avaient un peu lassé du chaton et de son environnement mais ce nouvel opus relance quelque peu la machine. Kanata Konami joue sur le contraste entre la difficile condition du chat des rues (Minou) et la vie confortable du chat d’appartement (Chi) qui n’a qu’à miauler pour qu’on lui donne à manger et qui possède un coussin moelleux pour faire la sieste. Chaque petit chapitre semble indépendant mais participe en fait à la progression de l’histoire, ce qui donne une vraie cohérence à l’ensemble.



Chi est une série qui plait vraiment à toute la famille (je parle de la mienne). C’est le seul manga à faire l’unanimité puisqu’il est lu par mes filles, ma femme et moi. Il faut dire que le dessin kawaï, les couleurs douces, les chapitres très courts et la publication dans le sens de lecture occidental sont des arguments de poids pour les jeunes lecteurs qui découvrent le manga. Les plus grands, surtout s’ils possèdent un chat, reconnaîtront dans les mimiques de Chi leur propre animal. L’auteur parvient avec une remarquable économie d’effets à traduire les attitudes et les sensations infimes qu’expriment nos félins préférés. C’est sans doute dans cette retranscription réaliste, dans ces observations précises et humoristiques qui rappellent au lecteur un univers familier que tient le succès grandissant la série. Une vraie belle réussite !


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les aventures de Chi sont toujours aussi charmante et tendre. Ici elle a envie de vivre la grande vie avec Minou mais la grande vie est-elle aussi bien que ça?

J'ai trouvé ce manga adorable.

Je suis tombé sous le charme de Chi, le chaton le plus mignon du monde, et son fameux "Ze veux rentrer à la maison".

Un livre très agréable à lire, et à contempler : les illustrations sont craquantes.

Il n'est pas très long et se lit en pas loin d'une heure, à tout âge !
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C'est un manga très frais, accessible et sans prétention et qui se lit très vite. Il est donc parfait pour un jeune public mais il ravira aussi des lecteurs plus âgés en quête de détente. Les différents chapitres forment un ensemble attendrissant et léger, parfois tendres (la sieste avec Yohei) ou beaucoup plus cocasses (la visite chez le vétérinaire, pour n'en citer qu'un).



Le dessin est à l'image des couvertures : sobre, tout en rondeur et en couleurs pastel, avec un trait agréable et assez fin. Le manga ne contient au final que très peu de texte et l'émotion est parfaitement rendue par ces dessins tendres et colorés. J'ai particulièrement apprécié les expressions de Chi en fonction des situations. Elles sont certes exagérés (comme dans tout manga), mais forment un ensemble très expressif. Comment résister à une boule de poils si mignonne …



Un petit point agaçant cependant, dans la version papier en VF, Chi a été dotée d'un zozotement assez insupportable à la longue. Dans mon souvenir ce n'était pas présent dans l'anime (d'un autre côté je le regardais en VO, donc bon je ne suis pas sûre de faire la différence entre un japonais zozotant ou non). Autre élément négatif : le prix à plus de 10€. Certes le manga est en couleur et le sens de lecture a été adapté à une audience française et en particulier à un jeune public, mais je ne peux m'empêcher de penser que Glenat est excessif sur ce coup. Cela ne contribue vraiment pas à rendre populaire ce manga alors qu'il gagne à être connu.



Si vous le trouvez en occasion ou à la bibliothèque n'hésitez pas, à vous de décider ensuite si vous voulez poursuivre la collection. Mais il y a de grandes chances pour que vous craquiez pour les aventures tendres et facétieuses de Chi.
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Chi, une vie de chat est un manga qui, sans surprise, est consacré aux félins qui partagent nos vies. Plus exactement à un chaton, Chi.

On suit les pérégrinations de ce petit chaton tout mignon, de son adoption à sa rencontre avec de nouveaux amis, de ses découvertes à ses mésaventures. Chi découvre le monde avec toute l'innocence d'un enfant - elle s'entend d'ailleurs très bien avec le petit garçon de 3 ans de la famille qui l'a adoptée, Yohei.

Le dessin est tout en couleurs - fait plutôt rare dans le domaine du manga ! Très bien fait, le trait de l'auteur apporte encore plus au manga. C'est véritablement une boule de tendresse, Chi.

Le manga offre une cure de "mignonnitude", à tel point qu'on sent presque un cercle de petites coeurs et de petites étoiles flotter au-dessus de notre tête quand on le lit !

A lire si l'on aime les chats, et adapté à tous âges.

Ces petites histoires sont rigolotes, j’ai beaucoup souri en regardant ce petit chat qui apprend la vie.



Le dessin est attendrissant et doux, et les couleurs ajoutent encore plus de douceurs à ce manga.

On sent que l’auteur aime les chats et qu’elle les a observés. D’ailleurs, j’ai lu que raconter la vie des chats d’appartement était devenu sa spécialité et la deuxième série qu’elle dessine est consacrée à un chat adulte qui s’appelle Fuku Fuku.



J’ai donc passé un bon moment, et si vous cherchez un manga léger et rigolo, c’est parfait. Je pense que vous pourrez aussi le donner sans souci à vos enfants (je n’en ai pas pour tester).

Par contre, si comme moi vous avez un chat un peu patraque en ce moment, ce manga risque de vous rendre un peu nostalgique.
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Encore et toujours, Chi me fait totalement craquer. Ce tome est peut-être un peu trop répétitif, on y apprend pas grand chose de neuf sur la vie de Chi, mais quel régal comme toujours de voir les mimiques de ce petit chat. Comme j'ai récemment recueilli un petit chat qui se trouve être le portrait craché de Chi, j'ai adoré comparer les bêtises de l'une et de l'autre :-)