Si on voulait être agréable avec la femme de Ruifeng, on pouvait dire d'elle qu'elle était corpulente ; si on voulait être méchant, on pouvait la traiter de gros tas de chair. Petite, pratiquement dépourvue de cou, elle avait tout de la barrique de bière. Elle recouvrait son visage aux traits épais d'une importante couche de fard et sa coiffure faisait invariablement penser à un nid de poule ; en un mot, elle était énorme et paraissait vraiment redoutable.