Je suis convaincue qu'elles souriaient, les soeurs Brontë, qu'elles aimaient la vie. Il est bien inutile de les imaginer heureuses, mais il est fondamental de croire qu'elles ont pu connaître la joie, telle que Spinoza l'envisageait: celle, sublime et rare, qui découle de la capacité de chacun à《persévérer dans son être》, jour après jour. La joie, c'est la joie de faire,《la puissance d'agir》qui donne sens à l'existence.