Dès 1822, les religieux et religieuses chargés, pour les uns, de l'école et de l'orphelinat et, pour les autres, de l'hospice, prennent possession des lieux. Caroline a suivi de près la progression du chantier, et déboursé sans sourciller plus de 600 000 francs. D'un point de vue architectural, l'hospice Saint-Charles est une magnifique réussite.
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