Des histoires me revenaient. On disait que les jeunes malades de la tuberculose lisaient jour et nuit, dans les sanatoriums, et que, quand ils mouraient, leur parents y laissaient leurs livres "pour les autres", ceux qui n'étaient pas encore morts. (Mais peut-être était-ce en réalité par terreur de la contagion.) Si bien que les bibliothèques débordaient dans ces maisons de soins.
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