" J'ai cessé de le frapper lorsqu'il n'y eut plus rien à fracasser ! Alors, le diable a disparu de ma tête, me laissant seule avec son meurtre. Mon dos est parcouru d'horribles frissons. Je suis couverte de grosses gouttes de sueur froide. J'ai très peur, bien que je ne sois pas coupable. C'est l'Autre qui est le meurtrier, pas moi. Je n'ai pas paniqué. J'ai refait un tour d'horizon et constaté avec bonheur que personne n'avait pu remarquer la scène. Les rares badauds présents sur le site se trouvaient au bord de l'eau et, par conséquent, nous tournaient le dos… "