En attendant, Ernesto s’assied à sa table. Il boit son café et, comme tous les matins, il pense à la première cigarette, celle qu’il ne fume plus depuis trente-trois ans parce que Marietta avait voulu qu’il arrête alors que c’est elle qui, pour ainsi dire, était partie en fumée, le laissant tous les matins avec le même regret à la fois de sa femme et de sa première dose de nicotine. (Page 265)