Je sais d’où l’observer sans qu’elle me voie. Il faut monter bien plus haut, j’ai le temps de le faire. Une fois installé, je la vois tourner autour de ses plantes. Et je crois un instant qu’à l’instar d’Alessandro elle va les saccager. Mais non. Elle enlève sa combinaison, se dénude au milieu du champ, bras en croix, la tête qui fixe le ciel. On dirait qu’elle lui parle, puis qu’elle le maudit, l’injurie. (p. 172)