le lieu est censé donner asile aux ames en détresses.Elle se remémore les cris des voix désolées,les affreux rires en cascade.Elle revoit son fils parmi les silhouettes maigres,figées ou balançant sur place.Ces hommes ont tout oublié de la douceur de vivre.Plus rien ne les atteint,ni injonctions,ni coup.
Cette haine n'est rien en regard des peurs qui meurtrissent leur coeur comme un papier qu'on froisse