En échange de menues pertes de souveraineté, la Namibie, à l'image de nombreux pays d'Afrique, voyait ses infrastructures routières et ferroviaires se développer à marche forcée. La quasi-totalité de son sous-sol appartenait dorénavant à des consortiums miniers multinationaux. Bientôt, seule la poussière serait encore propriété de la République indépendante namibienne.