J’ai alors entendu un cri lugubre. Un de ces cris atroces qui privent de sommeil, qui remuent mes entrailles, qui me transissent l’échine. Un cri fluet, implorant, chargé de détresse. L’appel d’un enfant qui a perdu sa mère…
[Celles qui marchent dans l’Ombre – Jean-Philippe Jaworski]